Bienvenue à Everwilde, le point de rencontres de tous les contes et de toutes les histoires ayant jamais existé… Lieu merveilleux où les personnages de contes et légendes se retrouvent pour poursuivre leur destinée toute tracée, Everwilde s’est dressée il y a bien des années, terre créée par les frères Grimm afin d’y accueillir les personnages et de s’assurer que les histoires ne cessent d’exister. Afin de s’assurer que le monde merveilleux et ses convives puissent exister sans problèmes, un puissant artéfact a germé de ces histoires : le Livre des légendes et contes se devait d’assurer la continuité de ce qui était inscrit en son sein. Il s’assurait ainsi que les évènements clefs des contes ne soient détournés, mais c’était bien avant que certains ne commencent à nier leur destinée.

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[TW : violence, torture] (fb) les crocs sur la peau — raul.Everwilde :: Quartier du Bien :: Place de la Couronne :: QG des Sentinelles
Igor K. SteinAlliance des Récits Évadés
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# [TW : violence, torture] (fb) les crocs sur la peau — raul.Mer 27 Sep - 22:42
les crocs sur
la peau
y'a pas de doute la nuit est sombre — la nuit est terrible. igor n'y a constaté que la lune pleine de sa fenêtre étroite. elle n'avait rien d'une fenêtre, elle avait tout d'une abîme et quand il s'endormait les brûlures était encore vives.

c'était comme si la lune lui avait brûlé la rétine si fort — alors tout devait être un rêve. il ne devrait pas être ici, encore moins pour ça. il ne devrait pas être inquiet, dans cette pièce qui a l'air d'une prison. il ne devrait pas avoir peur de ceux qui représentent le destin — oh non, il ne devrait pas craindre de voir ton regard luire dans la nuit.

il ne devrait pas craindre que tu viennes le trouver, dans la nuit sombre car elle deviendrait dès lors écarlate. igor ne devrait pas — il devrait oublier tout, abandonner, attendre que tu l'achèves peut-être également. il devrait tant mais il ne fait rien puisqu'il est là, lié à son destin qui ne lui appartient pas.

finalement, lui avait-il déjà appartenu ?
par terre c'est froid et il ne sent plus ses doigts. mais derrière les murs il y a la peur et l'angoisse qui se mêlent et il sait que la mort (si elle était réelle — elle l'était) était toute proche. elle donnait à son coeur la sensation qu'imploser l'empêcherait d'hurler son malheur.

toi derrière la porte, toi
la mort — la mort sinistre, il ne te voit pas igor mais il te sent.
et rien n'est pire que lorsque l'on te sent arriver sans même pouvoir bouger.
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# Re: [TW : violence, torture] (fb) les crocs sur la peau — raul.Jeu 28 Sep - 23:56
Les pas sonnent dans les couloirs comme le glas qui annonce la mort, comme le glas qui épouse la vie - lui assène l’assassinat dans un coup brut, le long de la colonne, découpe la chair et laisse mourir l’espoir. Raul s’avançait comme s’il allait éteindre la vie, voir fleurir la mort brute sur ce corps puant qui n’était vivant que dans l’âme, pas même dans la forme. Qu’il n’était qu’un amas de chair putride assemblé par un scientifique sans importance - qu’il le maudirait d’avoir amené sa création mortifère jusqu’à chez lui.
Devant la porte, il se tient droit. Les orbes luisantes dans l’obscurité il avait aussi insisté ; personne sans son autorisation ne devait y entrer, personne ne devait malmener sa chair, personne ne devait lui offrir mot ; le mépris simplement du regard. Mais lui, lui n’avait besoin d'aucune règle, lui était la règle, le loup, la chasse manifestée - et quand il s’appuie, pour tenter d’écouter, la respiration inquiète de la victime il n’entend rien, il le saura quand il s’approchera.
Mais il sait que le Loup est là ; Raul a pris la peine de s’énoncer à sa façon. Raul lui, ne se rappelle plus de son nom, mais il connaît très bien sa vie. Peut-être que lui l’avait oublié, alors il ouvre la porte sèchement, comme un fracas et il ne lui saute pas dessus, pas tout de suite - car d’abord il s’assure de fermer derrière lui.
Et son regard tombe sur la silhouette malade, cet amas de chairs modifiées et cet être qui est la vie ayant dévoré la mort, ou peut-être était-ce l’inverse. Raul n’a qu’un regard empli de dégoût, ce même regard qu’il avait en le trouvant, et ça ne changera jamais.

— Te voilà dans une bien triste situation. À qui la faute - sûrement pas à lui ! N’avait-il pas fait que son travail, chasser et traquer puis dévorer dans une pièce là où personne n’ira jamais le chercher - ah ! Il n’en était pas encore là, fort heureusement. Regarde-toi, tu es pâle comme un cadavre. Il a le ton grave et moqueur, railleur dans l’attitude quand il s’approche pour le surplomber de tout, mais surtout du regard. Ce n’est pas grave, je vais arranger ça. Il l’observe, dissèque ses émotions ; ternes avant le reste, et inefficaces semblaient ses provocations. Raul n’avait pas même idée de ce que la créature pouvait avoir traversée - tout simplement car il s’en moquait. La destinée était suprême ; elle lui susurrait à l’oreille que ce qu’il faisait était juste.

— Rassure-toi, je ne me ferais pas l’affront de te dévorer, même si je crevais de faim. Oh vraiment pas - mais peut-être qu’il restait un espoir pour ceux qui se trompaient de voie. Non.. Je suis là pour te guider, comprends-tu ? À sa façon le guider, dans la mort dans le sang dans la violence, dans tant de choses qu’il ne saura plus penser et bientôt simplement il geindra, il pleurera ; il y a tant de choses que Raul avait impatience d’entendre s’éclaircir.
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Igor K. SteinAlliance des Récits Évadés
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# Re: [TW : violence, torture] (fb) les crocs sur la peau — raul.Ven 29 Sep - 14:43
les crocs sur
la peau
pâle il l'a toujours été — son corps est effondré, il n'a plus l'envie de te regarder, de là où il est. il n'a plus l'envie de résister, encore moins de te répondre. il sait, tu vas casser chacune de ses réponses comme tu as déjà cassé tous ses espoirs.

pour les gens comme lui, il n'y a aucune solution. ils sont condamnés à s'imaginer en rêve pour mourir en tentant de les atteindre et toi le loup — tu es la pièce maîtresse de ce plateau. tu insistes et dévores et il ne reste plus rien. ils deviennent des pantins pour que rien ne change, et les histoires restent horribles pour certains, banales pour d'autres plus chanceux.

le corps tremble de froid et igor tremble de connaître la suite — ne vas-tu pas le lâcher, à la fin ? comptes-tu bousiller le peu qui lui reste ? il te le laisserait sans doute igor, car il n'a pas la volonté d'être l'homme résistant que tu penses y trouver. lui il n'est qu'un homme — tu ne verras qu'une créature.
s'il est dénué d'intérêt, s'il ne vaut pas mieux qu'un homme alors pourquoi ?

tu n'obtiendras rien de moi. parce qu'il n'est rien, igor, il n'a rien a t'offrir — tu n'es qu'un loup, tu pourrais le dévorer si l'envie te prenait mais tu te plaît à le torturer simplement par ta présence. je suis déjà mort, qu'est-ce que tu comptes y changer? il est déjà mort, igor sa peau pourrie qu'il porte tous les jours.

elle pèse si lourd que parfois il aimerait s'en débarasser.
peut-être pouvais-tu l'y aider — peux-être aurais-tu la volonté d'arracher sa peau pour y voir qui est le plus vivant.
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# Re: [TW : violence, torture] (fb) les crocs sur la peau — raul.Ven 6 Oct - 18:20
Il n’est qu’un loup, il n’est qu’une histoire où gouverne le plus dominant ou s’achève le plus suppliant ; où ses crocs subdivisent la chair et où les mémoires se consternent. La Bête ignoble telle qu’il la voit n’a rien de franchement comparable à n’importe quelle autre créature, existence oubliable, il n’a d’intérêt que pour ses orbes qui pivotent sans vie - ses orbes qui ne sont pas les siennes et ce corps qui n’est pas le sien. Peut-être que son esprit lui aussi s’est forgé d’autres qui ne lui appartiennent pas - Raul le présume, car il lit dans son regard mort-né, celui où il distingue la peur et le froid des morts et il n’a le temps d’en ajouter que la Créature s’anime et lui répond ; lui rit, de ces rires gras qu’on offre aux plus insignifiants.

— Ne me fais pas rire, qu’est ce que je pourrais obtenir de toi ? Car il n’attendait rien de personne alors encore moins de lui, alors peut-être était-ce quelque peu pour son plaisir personnel qu’il avait cherché le sang jusqu’ici, alors qu’il avait sommé aux sentinelles de ne pas se rendre ici de nuit. Car la nuit lui voit, la nuit le sang l’appelle - et sa chair (ses chairs car il y en a tant) l’appelle, suppliante - la traque l’appelle il finira par le dévorer s’il n’a pas réponses à ses questions. Tu es bien mort mais on dirait que tu t’évertues à vouloir changer cette réalité. Pourquoi alors devrait-il douter ?
Si tu es si mort que tu le prétends, pourquoi diable joues-tu aux vivants ?

Alors à proximité cette fois, sa main sur son menton il admire cet ignoble figure, pâle que les insectes pourraient dévorer si seulement elle n’était pas si poisseuse. C’est dans la nature des morts, de s’entendre si bien avec les vivants ? Car il ne devrait pas y songer, pas même le regarder quand c’est cette dure vérité qu’il lui murmure, le ton grave, le ton moqueur dans ce sourire qu’il s’osait à aborder.

— Peut-être devrions-nous vérifier s’il y a quelque chose de réellement vivant, là dessous. Brusquement quand il se relève, c’est son pied qui s’effondre sur sa silhouette - fait basculer son corps pour se dresser ensuite, le regard luisant sur cette silhouette qui jurait être déjà morte mais qui se comportait comme un vivant. Si tu ne bouges pas trop, peut-être qu’on évitera de réveiller les autres hm ? Il a le sourire long, venimeux, les crocs qui sortent comme s’il allait bondir, à tout moment - murmurer contre la chair morte, dévorer jusqu’aux os.
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# Re: [TW : violence, torture] (fb) les crocs sur la peau — raul.Lun 9 Oct - 22:05
les crocs sur
la peau
il y a ce point où tu as raison raul — c'est qu'il est déjà mort alors il ne devrait pas jouer avec les vivants. ceux qui te ressemblent, si sûrs d'eux et de la route qu'ils empruntent. il te comprend igor, mais il ne peut s'empêcher de te détester car tu es porté par toute cette hargne qu'il n'aura jamais, tout cette vie qu'il n'a eu qu'en creusant la mort.

il ne lui reste pas de place au cimetière pour creuser sa propre tombe. pourtant il veut se refuser d'en avoir l'idée, il veut essayer de fuir, d'inverser les aiguilles et de contourner les règles.
dans une autre réalité, tu aurais peut-être fait comme lui.

tu comprendrais peut-être si tu étais comme moi. igor s'ose à rire,— ça n'arrive jamais habituellement. encore moins quand la situation n'a rien de drôle. tu te laisserais mourir ? tu te laisserais battre parce que c'est ce que des gens ont décidé ? les auteurs. les créateurs. ceux qui ont décidé que tout serait ainsi

ceux qui ont pris vos vies en mains et qui en ont fait pour certains un cauchemar. igor en faisait partie et il s'y refusait plus longtemps et tu le fais chavirer, le pied écrasant — de tout ce que tu représentes.
il comprend là où tu veux en venir mais

la torture ça n'a jamais été rien de plus qu'une partie de son existence. c'est un café un peu trop amer à prendre, c'est une route sinueuse à emprunter, c'est un matelas un peu trop dur sur lequel passer la nuit.

et qu'est ce que tu feras, si je suis un peu plus vivant que tu ne le crois ? le regard qui d'en bas le scrute — sous sa peau, igor est peut-être plus vivant qu'il n'en a l'air
peut-être que quelque chose a changé en lui et ne changera jamais en toi.
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# Re: [TW : violence, torture] (fb) les crocs sur la peau — raul.Jeu 12 Oct - 23:02
Les questions tombent sous son regard qui s’écoule, détaille ce corps qu’il surplombe depuis l’instant où il a posé son regard dessus ; Raul ne comprend pas pourquoi il s’évertue à le questionner, pourquoi il s’ose à demander. Il est l’un et lui l’autre, il n’a qu’à gronder un instant et lui insuffler la peur, alors il oubliera ce qu’il vient de questionner. Raul ne comprend pas, pourquoi la créature s’évertue à croire qu’elle peut le questionner, qu’elle peut lui dire si tu étais comme moi parce qu’il n’est pas comme lui, alors le loup rit.
C’est un rire taraudant, qui s'engouffre au fond de sa gorge - alors il lui adresse un regard plein de mépris ; son visage et son regard parle à sa place quand il se prononce enfin, les tonalités cruelles qui viennent chercher les quelques fragments restants.

— Tu trouves le moyen de rire, décidément les peines perdues me fascinent. C’est une façon de répondre à des questionnements qui n’ont de sens, des questions auxquelles lui n’a pas non plus de réponses ; il n’est pas comme lui et il en est bien heureux. Si j’étais comme toi, je ferais ce que l’on attend de moi. Ce n’est pas une tâche bien compliquée pourtant. Mais il n’est pas comme lui alors pourquoi le questionner ? Il était là, debout il avait au centre la couronne des Rois, l’assurance de ceux qui n’ont pas besoin de se demander et si jamais car il était né pour gouverner, n’est-ce pas ; prendre des vies, admirer la douleur sur les visages terrifiés devrait-être naturel pour lui. Tout le monde n’attend qu’à ce que tu complètes l’histoire, que tu la poursuives. Et d’en haut le loup vient se pencher, le visage s’imposant face aux siens et les genoux désormais fléchis - à sa hauteur pour mieux admirer cette carcasse trop dévouée.

— Tout le monde n’attend qu’à ce que tu meures. C’est la tragédie, c’est la fin de l’histoire comme d’autres avant lui, certains autres en tout cas. Mais l’histoire est marquée ainsi dans son esprit, alors ainsi elle devra se finir.
Alors s’il est un peu plus vivant - ça ne durera pas. Ça n’existe pas, être plus vivant. Raul rit à ce constat ; il a la chair pourrie, être de mort et de douleurs et pourtant il est bien vivant. Ça le peinerait de l’avouer, mais qui d’autre qu’un vivant se plairait ainsi à jouer aux vivants ?

— J’éliminerai ce qui te rend si vivant. Ses griffes viennent brusquement se planter dans son épaule, creusent sous la chair des couloirs de rives ardentes ; l’implosion n’est pas directe, mais le mouvement est violent. Elles s’empressent de le saisir, comme on manipulerait un mort, un corps sans vie, une existence sans but ; lui sourit à l’éclat du sang contre ses griffes brusquement sorties. Comme il était naturel qu’elles saisissent ses proies, il appuie comme pour s’en abreuver. Je vais te faire passer l’envie de jouer aux vivants. Le sourire est si long mais le regard est si noir, c’est un contraste qui sonne le glas, et ici le sol est froid le sol est dur, le monde ne regarde pas mais la vie se meurt ; Raul épousait chaque fragment de cet être qu’il dévorait.
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# Re: [TW : violence, torture] (fb) les crocs sur la peau — raul.Sam 10 Fév - 11:16
les crocs sur
la peau
il te rit de nouveau au nez — tu sais lui répondre, alors pourquoi devrait-il se taire ?
igor reste silencieux, un temps à l'observer le regard neutre, le visage étiré par ses muscles qui le tiraillaient nerveusement.

tu bavais d'assurance et de force, et igor lui s'écroulait — il était une créature laissée pour morte par son créateur, mais c'était lui qu'on venait découper au scalpel. lui qui n'avait demandé que d'être libre, que d'être homme mais il ne pouvait qu'être monstre.
la destinée se montrait cruel avec ceux qui avaient tout à lui envier. chez igor, le soleil ne se couchait que parce qu'il venait s'enfoncer sous les draps. dans l'obscurité, il était plus aisé d'oublier qu'il ne réussirait jamais à lui échapper.

quand la tâche et de tuer et dévorer, je me doute que ce n'est pas le plus compliqué pour toi. naître grand loup ou naître petite fille aux allumettes, condamnée à mourir dans le froid — naître princesse et finir mariée à l'homme de sa vie, ou naître cette sorcière qui n'a d'autre rôle que d'illuminer l'autre.

tu l'as dis toi-même, je suis déjà mort. et il l'affirmera autant qu'il faut, bien qu'en son sein, il espère pouvoir être plus vivant. il n'y a rien de vivant chez-moi, pas plus qu'il n'y a quelque chose d'humain chez toi. igor le sait, tu n'es qu'un loup déguisé en homme. tu serais l'ogre vorace qui viendrait le dépecer si le destin t'avait donné une autre apparence.

mais sa menace et son sourire malicieux sont interrompus par cette chair qui se fend sous tes griffes — igor gémit aussitôt que sa chair déjà morte prend la couleur de ce qui vivait encore il y a quelques instants. la mâchoire serrée, igor ne peut pas même se tordre de douleur car c'est comme si tu menaçais de t'effondrer sur lui s'il tentait quoi que ce soit.

aha.. aha arrête — tu vas me rendre nerveux à me regarder comme ça. igor n'a que le sarcasme pour lui, il n'a qu'à rire aux éclats et admirer sa chair qui n'a jamais été vraiment vivante. il n'a qu'à te regarder toi
toi et ton stupide sourire trop fier, celui qu'il t'arrachera un jour. celui qui te fera plonger les oreilles vers l'arrière, comme terrifié par tout ce que tu subiras à ton tour.

il espère que tu pleureras— il espère que tu mourras— comme il a pleuré, comme il est mort ce jour là
celui où vous êtes venu tuer un fragment de lui. et ce soir là, comme tu t'évertues de briser ce qui est mort depuis des années.

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# Re: [TW : violence, torture] (fb) les crocs sur la peau — raul.
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