T’avais ramassé un Abott en pleurs et complètement ivre la veille.
Tu t'étais occupé de ton colocataire ivre et triste, afin de l’écouter pendant des heures lui expliquer ce qui s’était passé.
Ton demi-frère était un sacré idiot, comment il faisait pour ne pas remarquer qu’Abott en pinçait pour lui ? C’était aussi évident que le nez au milieu de la figure, et ça commençait à t’agacer, parce que c’était toujours toi qui devais récupérer votre ami complètement en pleurs.
Alors t’avais envoyé des messages à ton frère. Ou plutôt des ‘’espèce d’abruti faut qu’on parle‘’ ‘’M’ignore pas ! ‘’ ‘’Faut vraiment qu’on discute‘’ ‘’Reponds ! ‘’
Au bout d’un moment il t’avait répondu, et t’étais donc parti en direction du Quartier du Bien. Il t’avait donné rendez-vous au Square.
A peine était tu arrivé dans son champ de vision qu’il te fit un signe de main, avec son sourire benêt. Et quand tu eu le malheur d’être à proximité de lui, il te serra dans ses bras. Tes épaules se tendirent un peu et tu tapotas son dos pour qu’il cesse. D’une tu n’étais pas très câlin, mais de deux là ce n’était pas le moment.
Trys ! Ça me fait plaisir de fou de te voir ! Comment tu vas en cette belle journée ?
Une baffe. Bon sang que t’avais envie de lui mettre une baffe pour lui remettre les idées en place. Mais tu pris une grande inspiration et tu croisas les bras, l’observant.
Plutôt mal. Tu sais pourquoi ? Parce que t'as été un idiot fini avec Abbott. Que j’ai ensuite dû l’écouter chouiner par TA faute pendant des heures, et que j’ai pas mon quota de sommeil. Et je crois me souvenir, que t’aimes pas être en ma présence quand j’ai pas mon quota de sommeil hein ? Alors maintenant tu t’assois et tu m’écoutes
Quand il le fit, tu restas debout devant lui, tes sourcils toujours aussi froncés et tu faisait de ton mieux pour te contrôler.
Maintenant, on pose cartes sur table. Car j’en ai assez. Tu penses quoi d’Abbott ? Tu tiens a lui non ?
# After the earthquakesMar 23 Jan - 2:18After the earthquakes come the aftermaths ft. Trystan Depuis quelques jours, ta vie est un tremblement de terre constant. Entre Svane qui t’a donné rendez-vous en pleine réunion de l’Alliance des récits Évadés, Abbott qui s’y trouvait et Emrys qui a veillé tardivement pour te tirer les vers du nez, ta vie se voit maintenant bien chamboulée. Toi, un fugitif ? Ça te parait absurde et pourtant, te voilà impliqué malgré toi dans cette rébellion.
Cul entre deux chaises, tu te sens étiré entre ton alignement de cœur et celui que tu as l’impression que certains de tes proches voudraient te voir suivre. Tu n’as pas encore eu l’occasion de demander à Svane pourquoi il t’a envoyé là-bas alors que lui-même n’était pas présent, tout aveugle que tu es au fait qu’il est capable de changer d’apparence. Mais, s’il avait été présent, même sous une autre apparence, il serait venu au moins te dire bonjour, non ? Il t’aurait fait prendre connaissance de sa présence et de tout le reste, non ?
Bref, t’es confus et un peu secoué aussi. Parce que ton père adoptif t’a dit de faire profil bas, de ne pas te faire remarquer. Et, quand tu as allumé ton vieux téléphone à clapet, ce matin, c’était pour remarquer un florilège de messages venant de Trystan.
Visiblement, il voudrait te parler d’Abbott. C’est vrai qu’ils sont colocataires, tous les deux. Tu lui avais fait savoir un lieu de rendez-vous pour parler. Si tu reconnais le côté pratique des téléphones et autres ordinateurs, tu restes une vieille âme. Rien de mieux que de parler en face à face. Et, même si cela ne fait pas si longtemps que ton frère est dans ta vie, tu ne peux t’empêcher de l’aimer autant que tes frères et sœurs d’adoption.
Te voilà alors au square des récits, assis sur un banc. Tu sirotes un smoothie sous un arbre, t’amusant à détailler les gens qui passent sous ton nez, t’inventant multitudes d’histoires de vie et de dialogues dans ta tête. Toi qui a grandi dans la forêt, tu ne peux t’empêcher de préférer le square au reste de l’esplanade enchantée.
Et finalement, tu la vois, la tête grognonne de ton demi-frère. Tu lèves une main, lui faisant signe de loin, l’invitant à te rejoindre sur ton banc. Quand il arrive à ton niveau, tu te lèves tout de même pour le prendre dans tes bras, lui collant une étreinte serrée.
- Trys ! Ça me fait plaisir de fou de te voir ! Comment tu vas en cette belle journée ? , que tu demandes, ayant déjà oublié comment il a manqué de faire imploser ton téléphone ce matin.
Cul entre deux chaises, tu te sens étiré entre ton alignement de cœur et celui que tu as l’impression que certains de tes proches voudraient te voir suivre. Tu n’as pas encore eu l’occasion de demander à Svane pourquoi il t’a envoyé là-bas alors que lui-même n’était pas présent, tout aveugle que tu es au fait qu’il est capable de changer d’apparence. Mais, s’il avait été présent, même sous une autre apparence, il serait venu au moins te dire bonjour, non ? Il t’aurait fait prendre connaissance de sa présence et de tout le reste, non ?
Bref, t’es confus et un peu secoué aussi. Parce que ton père adoptif t’a dit de faire profil bas, de ne pas te faire remarquer. Et, quand tu as allumé ton vieux téléphone à clapet, ce matin, c’était pour remarquer un florilège de messages venant de Trystan.
Visiblement, il voudrait te parler d’Abbott. C’est vrai qu’ils sont colocataires, tous les deux. Tu lui avais fait savoir un lieu de rendez-vous pour parler. Si tu reconnais le côté pratique des téléphones et autres ordinateurs, tu restes une vieille âme. Rien de mieux que de parler en face à face. Et, même si cela ne fait pas si longtemps que ton frère est dans ta vie, tu ne peux t’empêcher de l’aimer autant que tes frères et sœurs d’adoption.
Te voilà alors au square des récits, assis sur un banc. Tu sirotes un smoothie sous un arbre, t’amusant à détailler les gens qui passent sous ton nez, t’inventant multitudes d’histoires de vie et de dialogues dans ta tête. Toi qui a grandi dans la forêt, tu ne peux t’empêcher de préférer le square au reste de l’esplanade enchantée.
Et finalement, tu la vois, la tête grognonne de ton demi-frère. Tu lèves une main, lui faisant signe de loin, l’invitant à te rejoindre sur ton banc. Quand il arrive à ton niveau, tu te lèves tout de même pour le prendre dans tes bras, lui collant une étreinte serrée.
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# Re: After the earthquakesMar 23 Jan - 11:14After the earthquakes come the aftermaths CIARAN
You idiot.
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